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Les constellations de Sandrine Elberg à la Fisheye Gallery à Arles

La Fisheye Gallery à Arles accueille une exposition de Sandrine ElbergRêves cosmiques, du 4 juillet au 30 septembre. Un regard sur les recherches de la photographes ces dernières années, mêlant art et science, imagination et réalité. (Photo d’ouverture : © Sandrine Elberg)

Sandrine Elberg mène, depuis des années, des recherches visuelles autour du cosmos et des constellations. La Fisheye Gallery d’Arles rend alors hommage à ce travail unique dans son genre lors d’une exposition, Rêves cosmiques, du 4 juillet au 30 septembre. Dans ses compositions, Elberg mêle fiction et science, fantaisie et réalité, pour aboutir à un monde suspendu qui n’existe qu’à travers son œuvre.

© Sandrine Elberg

L’artiste puise son inspiration dans des territoires aux climats hostiles pour réaliser des photographies lunaires propices à l’imaginaire collectif. Les procédés qu’elle utilise sont variés, complexes, parfois imprévisibles : une simple poussière déposée sur du papier photo devient une étoile lointaine. Le vrai sujet de son travail est la photographie en elle-même, ses techniques, ses possibilités et ses langages. La photographie est pour Sandrine Elberg un terrain inépuisable d’expérimentation.

Photographie, photogramme, solarisation, utilisation des négatifs et puis sérigraphies – entre autres – permettent à Sandrine Elberg de retrouver les thèmes qui la fascinent depuis son plus jeune âge : les astres, l’univers, le cosmos. Le réel se confronte alors à des espaces imaginaires, un voile de mystère persiste dans son œuvre. Comme l’indique Marine Dorandeau, autrice des textes de l’exposition, « Dans une installation aux contours immersifs, la galerie propose, comme dans un rêve, un voyage parmi les astéroïdes, les galaxies et les supernovæ : un rêve cosmique. »

© Sandrine Elberg

Sandrine Elberg a participé à une soixantaine d’expositions et est lauréate de plusieurs Prix prestigieux photographiques.  Sa première monographie Cosmic réalisée en auto-publication rencontre un vif succès auprès des libraires et des lecteurs. L’artiste attache une importance particulière aux éditions qui complètent ses expositions. Sa deuxième monographie M.O.O.N. est distinguée par Best Photography Book Award à PHotoEspaña, par le Jury du Prix Nadar, puis Lucie Photo Book Prize à New York et enfin le Prix HIP. En 2020, son dernier livre JÖKULL. La mémoire des glaciers est présenté pour la première fois au Fotobokfestival Oslo en Norvège. Dans la presse, son travail fait aussi l’objet de plusieurs portfolios publiés comme la Revue Espace(s) du Cnes, Les Others, Fisheye Magazine, Halogénure, Réponse Photo.

Source : fisheyegallery.fr

 


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